L’enseigne d’art moderne et contemporain, une institution depuis 1957, a annoncé qu’elle fermera ses portes en 2024.

En exposant pour elles-mêmes les œuvres de Joan Mitchell et Claude Monet, la Fondation Louis-Vuitton, à Paris, montre que l’exigence en histoire de l’art peut satisfaire des visiteurs venus en nombre.

À travers le témoignage de vingt-quatre personnalités du monde de l’art, l’avocat et critique Guy Bloch-Champfort dresse le portrait d’une Joan Mitchell aux multiples facettes.

Avec l’exposition « Monet – Mitchell », la Fondation Louis-Vuitton, à Paris, orchestre la rencontre des œuvres de deux immenses artistes.

Réalisée en 1992, cette œuvre sans titre appartient à l’ultime série de peintures exécutées par Joan Mitchell, signant là son testament artistique.

Près de six ans après sa disparition et deux après l’entrée par dation d’un ensemble de ses œuvres dans les collections publiques, l’Américaine bénéficie d’une importante exposition à Paris, avant le Kunstmuseum de Bâle et le Musée Matisse de Nice.

Selon nos informations, l’institution privée parisienne consacrera en 2022 une grande exposition à Joan Mitchell, et une autre à Claude Monet.

Première du genre à être tentée par Sotheby’s, la vente aux enchères exclusivement en ligne a totalisé 363,2 millions de dollars, soit 322,8 millions d’euros. Ce succès confirme que la confiance perdure dans un marché international haut de gamme, malgré la pandémie de Covid-19.

Après le succès de la vente du soir de Sotheby’s (lire notre édition du 1er juillet), c’est au tour de Phillips d’organiser la sienne.

Coïncidant avec la réouverture des salles de Sotheby’s à New York, la vente du soir de la collection Ginny Williams, à partir du 29 juin, marquera une première : les artistes femmes comptent pour plus des deux tiers de sa valeur.