Aujourd’hui éditeur de fiction dans la prestigieuse collection « Blanche » de Gallimard, maison où il dirige deux collections d’essais – « Art et Artistes » qu’il a créée en 1991 et « Témoins de l’art » lancée en 2009 –, Jean-Loup Champion est éditeur, historien de l’art spécialisé dans la sculpture et sculpteur...

Formée à la performance et aux arts vivants, installée entre Sydney et Paris, Angelica Mesiti présente le projet vidéo ASSEMBLY, avec la commissaire Juliana Engberg.

Directeur artistique du Fiorucci Arts Trust et initiateur de Volcano Extravaganza à Stromboli, Milovan Farronato a réuni Enrico David, Chiara Fumai et Liliana Moro pour relever le «défi du labyrinthe».

À Venise, la collection Pinault fait dialoguer un choix d’œuvres avec les lieux alentour et la poésie d’Etel Adnan.

À presque 70 ans, l’artiste conceptuelle et activiste continue d’inspirer la génération actuelle. Rencontre à l’occasion de sa rétrospective au museo Guggenheim, à Bilbao.

Cathy Wilkes dessine un paysage baigné de lumière naturelle, orchestré par Emma Dexter, sur le thème de la «dormance».

Sous l’impulsion de l’artiste d’origine portugaise Marco Godinho et du commissaire Kevin Muhlen, le Pavillon du Luxembourg reflète les relations que les hommes entretiennent avec la mer.

Le Pavillon de Madagascar accoste à la Biennale de Venise, avec «I Have Forgotten the Night», un projet de Joël Andrianomearisoa dont le commissariat est assuré par Rina Ralay-Ranaivo et Emmanuel Daydé.

Confiée à la commissaire Chiara Parisi, cette deuxième exposition déroule avec brio un parcours plus aéré, où la subtilité le dispute à l’exigence.

Rarement montré en Europe, le travail de l’artiste afro-américain Martin Puryear se nourrit de techniques artisanales issues de différentes cultures. Un paysage mis en scène par la commissaire Brooke Kamin Rapaport.

Directrice du Kiran Nadar Museum, Roobina Karode a rassemblé sept artistes autour de la mémoire de Gandhi. Un choix discuté.

Cet été, le musée des Beaux-Arts Pouchkine, à Moscou, et le musée de l’Ermitage, à Saint-Pétersbourg, exposent d’un commun accord des œuvres des deux prestigieuses collections.

À Dunkerque, le Frac et le Laac rapprochent l’art et l’industrie dans une triennale consacrée à la démesure en art.

Jos De Gruyter et Harald Thys investissent de façon tonitruante le Pavillon belge, transformé en un Mondo Cane remis au goût du jour.

En charge du département Arts visuels de la HEAD-Genève, Charlotte Laubard a invité le duo Pauline Boudry et Renate Lorenz à présenter l’installation Moving Backwards

L’été culturel bordelais a pour point d’orgue une première exposition menée en partenariat avec le musée du Louvre.

Le musée de l’Orangerie et le musée du quai Branly-Jacques Chirac éclairent le rôle de Félix Fénéon dans la reconnaissance des avant-gardes européennes et extra-occidentales.

L'équipe de The Art Newspaper France présente sa sélection d'expositions à voir cet été dans la capitale de la Bavière.

L’exposition du Dom Museum explore la représentation de la souffrance et des blessures physiques, psychologiques ou sociales à travers les siècles.

Invité de Cécile Debray pour les « Contrepoints » de l’Orangerie, à Paris, l’Américain Alex Katz montre quelques paysages en dialogue avec les Nymphéas de Claude Monet.

Après des mois de restrictions sanitaires et alors qu’ont rouvert musées, terrasses des restaurants et cafés, etc., rien de tel qu’admirer la capitale sous un autre jour.

Avec la complicité de sa commissaire, Martha Kirszenbaum, l’artiste propose un voyage filmé de la banlieue parisienne à Venise, installation immersive entre fiction et réalité.

Trois fresques de l’artiste Tania Mouraud prendront place à Dunkerque, dans le cadre de la nouvelle triennale « Gigantisme » (du 4 mai au 5 janvier 2020.

La 15e édition de la Biennale d’art contemporain de Lyon, qui se tiendra du 18 septembre 2019 au 5 janvier 2020, aura une ampleur sans précédent.

Actuellement lauréat de la résidence d’artistes de la Pinault Collection à Lens, Hicham Berrada y élabore les nombreux projets qu’il va exposer ce printemps.

Son Homme pressé avait attiré la foule devant le Palazzo Grassi, à Venise, en 2011. Thomas Houseago présente sa première rétrospective française au musée d’Art moderne de la Ville de Paris, l’occasion d’une réflexion sur la sculpture, le corps et la performance.