Figure clé de la scène artistique contemporaine islandaise, Gudjon Ketilsson présente une passionnante monographie au sein du Reykjavik Art Museum.

Philippe Cognée, Cristina Iglesias, Wolfgang Laib et Giuseppe Penone se penchent sur les relations entre l’homme et la nature.

Le MAD Paris se penche sur les « Eighties », sans toujours réussir à faire le lien entre les différents domaines de création.

La 6e Triennale d’architecture de Lisbonne prône un retour à la « Terre » et convoque des « architectes-réparateurs » pour imaginer des solutions à l’urgence climatique.

Réputée pour ses projets respectueux de l’environnement et socialement responsable, Marina Tabassum a fondé son agence en 2005, à Dacca, au Bangladesh. Elle vient de remporter le prix Lifetime Achievement pour l’ensemble de sa carrière à la Triennale d’architecture de Lisbonne 2022. Rencontre dans la capitale portugaise.

Le musée des Arts décoratifs, à Paris, présente une grande rétrospective consacrée à Étienne Robial du 10 novembre 2022 au 11 juin 2023. Au moment de la publication chez Magnani d'« alphabets + tracés + logotypes », un ouvrage de référence qui retrace sa longue carrière, le prolifique graphiste et directeur artistique nous avait raconté son parcours, de Futuropolis à Canal+.

À l’occasion du centenaire de la naissance du graphiste allemand Otl Aicher, le HfG-Archiv Museum à Ulm, en Allemagne, présente une vaste rétrospective en cent affiches.

À l’occasion de son 25e anniversaire, le Museo Guggenheim Bilbao a présenté un plan de durabilité visant à minimiser l’impact environnemental de son activité. Son directeur adjoint des expositions et de la conservation nous parle de ce « plan pionnier ».

Fondée en Slovénie en 1963, la Biennale de design de Ljubljana BIO déploie sa 27e édition et explore un mouvement croissant et ambitieux qui s’inspire de l’architecture vernaculaire et de l’intelligence du design pour façonner un avenir plus résilient et équitable.

Les deux graphistes métamorphosent la MABA, à Nogent-sur-Marne, en un logement du réel pour exhiber le design graphique au quotidien.

La « Paris Design Week 2022 », qui se déroule jusqu’au 17 septembre, a choisi, cette année, de surfer sur la vague du Métavers, et en a fait sa thématique principale.

Avec sa 17e édition, le Lofoten International Art Festival, plus ancienne biennale d’art contemporain de Scandinavie, fête ses trente ans d’existence et se délecte de spectres et de fantômes.

Méconnue en France, l’artiste suisse proche de Jean Tinguely, bénéficie en Lorraine d’une première grande exposition personnelle en France.

Peut-on rendre l’artificiel naturel ? Voici la vaste question à laquelle tente de répondre l’exposition « Mimèsis. Un Design vivant » au Centre Pompidou-Metz.

Parmi les domaines ligériens qui, depuis quelques années, se piquent d’art contemporain, il n’y a pas seulement Chaumont-sur-Loire (qui consacre cet été une remarquable exposition à Jean Le Gac). C’est le cas aussi, à une moindre échelle, de ce château situé à Lémeré, entre Richelieu et Chinon.

L’architecture n’étant pas transportable, l’exposition que le musée d’Orsay, à Paris, consacre à Antoni Gaudí prend des voies détournées pour offrir un nouveau regard sur le travail de l’artiste catalan.

Avec cette exposition intitulée « Pierre Charpin, avec le dessin », l’Hôtel des Arts, à Toulon, inaugure un nouveau rendez-vous dans sa programmation annuelle, une présentation dorénavant printanière consacrée à un domaine sortant de la confidentialité : le dessin de designers.

Le graphiste suisse André Baldinger et son associé allemand Toan Vu-Huu, qui ont conçu l’identité visuelle du lieu, présentent l’exposition « Confluences » au Centre de création contemporaine Olivier Debré (CCCOD).

Au centre d’art Transpalette, à Bourges, les Argentins Chiachio et Giannone proposent avec l’exposition « Hope Will Never Be Silent » de retisser l’histoire de l’art queer.

Le domaine fête cette année les 30 ans du Festival international des jardins et les 15 ans de la Saison d’art qui offrira un riche programme.

Une exposition à la Maison de la culture du Japon, à Paris, présente les projets de trente-cinq agences nippones adeptes d’une architecture « post-catastrophes ».

Monoprix, filiale du groupe Casino, en passe de souffler l’an prochain ses 90 bougies, et son ex-concurrente Prisunic, font l’objet de l’exposition « Le design pour tous : de Prisunic à Monoprix, une aventure française » au MAD à Paris.

Le Zentrum Paul Klee à Berne consacre une importante exposition à Max Bill, l’un des artistes suisses les plus importants du XXe siècle.

Une étude de l’Observatoire de l’Office de tourisme et des congrès de Paris (OTCP) révèle que l’œuvre posthume de Christo et Jeanne-Claude a généré 235 millions d’euros de recettes touristiques.

Initiée, cette année, au Centre Pompidou, à Metz, et présentée jusqu’à la fin de l’été, l’exposition « Aerodream, architecture, design et structures gonflables » est reconfigurée à la Cité de l’architecture et du patrimoine, à Paris.

Il faisait un temps digne d’un été indien pour l’inauguration au jardin des Tuileries de la nouvelle édition du « Hors les murs » de la FIAC. La température était idéale pour déambuler dans les allées et bosquets à la découverte des sculptures et installations conçues par une vingtaine d’artistes internationaux.

Imaginé par le cabinet Wilmotte & Associés Architectes et construit par la société GL events, le Grand Palais Éphémère a pris place sur le plateau Joffre du Champ-de Mars, dans le 7e arrondissement de Paris.

L’artiste expose, sous le titre duchampien « Rrose c’est la life », plusieurs séries de ses œuvres au Centre d’art contemporain Bouvet-Ladubay, à Saumur.

Soixante ans après la naissance de ce projet de Christo et Jeanne-Claude, le monument parisien emblématique disparaît sous le tissu pendant deux semaines.

L’architecte suisse, figure du Mouvement moderne disparu en 1962, bénéficie d’une première rétrospective en France à la Cité de l’architecture et du patrimoine.