Le musée parisien expose une sélection d'œuvres sur papier de l'artiste Pierre Soulages sur lesquelles le noir joue avec la lumière.

L’œuvre du sculpteur et peintre suisse est mise à l’honneur au sein d’une exposition monographique organisée par le musée Cantini, en collaboration avec la Fondation Giacometti.

Le Frac Auvergne relie vingt-quatre artistes autour d'une posture : celle d’un engagement physique dans l’acte de peindre.

Cet été, la promenade du domaine varois s’enrichit des œuvres de Claudia Comte, invitée d’honneur de la saison.

L'exposition proposée par le musée des Beaux-Arts de Caen se penche sur la représentation de l'horizon par les artistes, de la Renaissance à nos jours.

Par un dispositif mêlant texte et photographie, l’artiste conceptuelle tisse un lien entre la conquête amoureuse et l’acte de chasser.

Cet été, le musée d’Histoire de Nantes propose de redécouvrir Katsushika Hokusai à travers une rétrospective exceptionnelle, en collaboration avec le musée Hokusai-kan d’Obuse (près de Nagano).

À Saint-Paul-de-Vence, la Fondation Maeght retrace l'itinéraire de Barbara Hepworth, des premières œuvres des années 1920 aux sculptures monumentales créées à la fin de sa vie.

L'installation pionnière d'Arman Le Plein, coup d’envoi du manifeste du Nouveau Réalisme, renaît dans les jardins de la Venet Foundation, au Muy.

Pour marquer cet anniversaire, les conservateurs ressuscitent une installation emblématique créée en 1990 par Annette Messager et Christian Boltanski dans le grenier du château.

Comme chaque été depuis 2017, la ville du Havre invite des artistes contemporains à prendre possession de ses espaces pour des expositions inédites.

Formée à la peinture à Milan dans les années 1950, l’artiste italienne Clemen Parrocchetti n’a cessé de repousser et réinventer les frontières de sa pratique.

Cette année, le Festival Photo La Gacilly met à l’honneur la photographie britannique dans toute sa richesse.

Au musée archéologique de Dijon, une présentation restituant les volumes et l’ampleur de la rotonde de l'église Saint-Bénigne en ravive la mémoire.

L’œuvre de Ben se retrouve au Frac Grand Large – Hauts-de-France, dans une exposition commémorant le 85e anniversaire de l’opération Dynamo et les 80 ans de la libération de Dunkerque.

Pour sa première exposition personnelle en France, Zac Langdon-Pole déploie un ensemble inédit de sculptures, d’installations et de photographies, où les formes naturelles voisinent avec des artefacts culturels.

La Pinault Collection, qui consacre une large part de ses œuvres à la figure humaine, en propose une sélection exceptionnelle au couvent des Jacobins, à Rennes.

Rassemblant près de 120 œuvres (toiles, encres, cuivres, bronzes et verres), le parcours met en lumière la résonance entre la production de Pierre Soulages et celle des grands noms qui l’ont précédé ou accompagné.

Au musée Tomi Ungerer-Centre international de l'illustration, Mounira Al Solh, Nino Bulling, Neïla Czermak Ichti et Mazen Kerbaj déploient une réponse artistique plurielle, engagée, où l’intime se noue au politique, où les récits personnels résonnent avec les fractures du monde.

L’exposition « Comme un reflet d’opale... » offre un regard sensible et documenté sur le Boulonnais, à travers peintures, photographies et témoignages.

L’exposition présentée au Frac Centre-Val de Loire est une démonstration que l’art peut être un levier de transformation, un outil pour retisser du lien et repenser l’avenir.

Cette édition de la récompense dédiée à la création extra-européenne met à l’honneur des photographes originaires de Hongkong et de Madagascar.

Le musée revient sur son histoire en proposant une exposition anniversaire ambitieuse, pensée comme un hommage aux artistes qui ont façonné son identité.

À l’occasion du 81e anniversaire du massacre d’Oradour-sur-Glane, la sculpture « Paperbomb » de Nessi Nezilla a été installée à l’entrée de l’ancien village.

L’exposition « Fantasmes, savoirs, liberté », soutenue par le musée d’Orsay, explore la redécouverte de cette figure dans la peinture de la seconde moitié du XIXe siècle.

En s’emparant de l'atrium du musée, les installations monumentales de l’artiste suisse transcendent l’espace, jouent avec les perspectives et bouleversent les repères visuels.

Il entrera en fonction début 2026, à l’occasion de la réouverture du musée, actuellement en rénovation.

Après six ans à la direction de la Villa Arson à Nice, l’historien de l’art et spécialiste de la photographie prend la tête de l’ENSAD.

Historienne de la mode et styliste de formation, Émilie Hammen entend réaffirmer « l’engagement du musée pour la transmission et le partage d’un patrimoine commun ».

Expositions, performances et rencontres sont proposées cette semaine à Digne-les-Bains, Gap et Embrun, une programmation entièrement gratuite.