Faire parler les assiettes
Ce livre de cuisine peu orthodoxe associe photographies de restes et recettes élaborées.
Rachel Rose, le cosmos dans la cuisine
Dans ses films courts, l’artiste américaine exorcise émotions et angoisses. Sa maîtrise du montage et de la narration est à découvrir à Lafayette Anticipations, à Paris.
Niele Toroni, le peintre du reste à voir
Jusqu'au 1er juillet 2020, Marian Goodman expose à Paris les empreintes uniques et répétées du peintre suisse Niele Toroni.
Retoucher, dit-elle : l’emprise des images selon Agnès Geoffray
À travers une revue de ses différentes séries iconographiques, retour sur une œuvre qui interroge la vraisemblance, la narration et la croyance.
Nature, pas morte
Laurence Bertrand Dorléac propose une approche inédited’un genre pourtant hyperclassique.
Le Culte des images, lecture pour aujourd'hui
À partir d’une réflexion sur le culte byzantin des icônes, Ernst Kitzinger revient sur notre propre rapport aux images.
Pierre Alechinsky, le fil de la lettre
Gallimard a réuni trois ouvrages du peintre datant des années 1990 (Lettre suit, Baluchon et ricochets, Remarques marginales) et trois extraits de Des deux mains (2004).
Nina Childress, bad portrait
La Fondation d’entreprise Ricard, à Paris, accueille une exposition de Nina Childress qu’Éric Troncy, son commissaire, a choisi d’orienter vers le portrait et le versant bad de sa peinture.
Barbara Hepworth, figurer dans le paysage
Le musée Rodin, à Paris, consacre à cette sculptrice britannique méconnue, disparue en 1975, sa première rétrospective française.
Charlotte Perriand, en quelques ensembles
À Paris, la Fondation Louis-Vuitton rend un hommage d’envergure à la créatrice de meubles et d’environnements, dont le sens éthique n’avait d’égal qu’une modernité assumée.
Revoir Toulouse-Lautrec
Le Grand Palais, à Paris, offre à cet artiste qui n’a eu de cesse d’innover une exposition majeure, réaffirmant la modernité de son œuvre.
Charlotte Perriand : la modernité au féminin
Dans un ouvrage richement documenté, Laure Adler dessine le portrait d'une femme libre, créatrice, militante et chef de bande.
Jean-Michel Othoniel choisit sa Brique de soufre de 1990
Presque trente ans après, Othoniel évoque l’une de ses premières œuvres, une forme simple et universelle, plus complexe qu’il n’y paraît.












