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Art Basel Paris : un démarrage dynamique pour les grosses galeries françaises

Dans la nef, les transactions ont été nombreuses depuis l'ouverture, de James Turell à Maurizio Cattelan.

Alexandre Crochet
24 octobre 2025
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Vue de l'installation du stand Perrotin à Art Basel, Paris, 2025. Maurizio Cattelan, TODAY, 2025. © Photo : Claire Dorn. Courtesy de l'artiste et Perrotin

Vue de l'installation du stand Perrotin à Art Basel, Paris, 2025. Maurizio Cattelan, TODAY, 2025. © Photo : Claire Dorn. Courtesy de l'artiste et Perrotin

Marqués par une forte affluence, surtout américaine et européenne mais aussi asiatique, les deux jours réservés aux VIP, les 21 et 22 octobre, ont été couronnés de succès pour de nombreux importants exposants français dans la nef. « Cette édition d’Art Basel Paris s’annonce très dynamique, portée par l’enthousiasme des collectionneurs. Nous sommes ravis d’avoir placé plusieurs œuvres importantes, notamment l’installation de Joël Andrianomearisoa présentée à l’Hôtel de la Marine dans le cadre du programme public d’Art Basel, ainsi que Path Taken (Vertical) de James Turrell. Dans un marché encore prudent, ces résultats attestent d’une activité stable et d’un intérêt soutenu pour les artistes de notre programme », explique Almine Rech.

Parmi de nombreuses transactions réalisées, l’œuvre de Joël Andrianomearisoa oscillait entre 200 000 et 250 000 euros; celle de James Turrell entre 900 000 et 1 million de dollars. Chez Perrotin, les pièces de Maurizio Cattelan, dont un espiègle jeune joueur de tambour surveille la foule, juché sur le stand, se sont arrachées comme des petits pains : plus de 12 pièces ont été vendues, à des prix compris entre 90 000 et 180 000 euros. Parmi les plus grosses ventes figurent une gouache de Soulages proposée à 400 000 euros, une œuvre de Takashi Murakami pour 550 000 livres ou une peinture de Bharti Kher pour 140 000 euros. De son côté, Templon, qui montrait pour la première fois Martial Raysse, a cédé des pièces de Jeanne Vicérial et Nazanin Pouyandeh ainsi qu’une peinture d’Omar Ba, très recherché, entre 95 000 et 100 000 euros. Mennour a vendu (entre autres) une œuvre d’Andy Warhol pour 1,3 million de dollars, et deux peintures de Lee Ufan à 1 million de dollars chacune. Enfin, Ceysson & Bénétiere déclare s’être délesté d’une cinquantaine d’œuvres vendues pour plus de 1,5 million d’euros. Dont, notamment, une vingtaine d’œuvres de Lionel Sabatté (dont la quasi-intégralité des sculptures oiseaux affichées entre 6 000 et 14 000 euros, et un tableau à 18 000 euros), une œuvre de Louis Cane à 250 000 euros, et un Tania Mouraud à 150 000 euros, acheté par une fondation.

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Art Basel Paris, 24 au 26 octobre 2025, Grand Palais, 17 avenue du Général-Eisenhower, 75008 Paris.

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