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BIENALSUR 2025 dévoile son programme en France

La première biennale transnationale d’art contemporain présente huit événements cet automne dans différentes villes de l’Hexagone. Tour d’horizon.

Stéphane Renault
18 septembre 2025
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Enrique Ramírez, capture de Un hombre que camina, 2021. Vidéo monocanal, couleur, son, 21 minutes. © BIENALSUR 2025, Courtesy de l'artiste

Enrique Ramírez, capture de Un hombre que camina, 2021. Vidéo monocanal, couleur, son, 21 minutes. © BIENALSUR 2025, Courtesy de l'artiste

Créée il y a dix ans, BIENALSUR a d’emblée affiché son ambition de réinventer le modèle de la biennale d’art contemporain en proposant une plateforme artistique transnationale fondée sur des coopérations institutionnelles.

Pour cette 5e édition, la manifestation présente les œuvres de plus de 400 artistes, dans 78 villes et 34 pays à travers le monde. « À travers cette programmation transnationale, BIENALSUR 2025 tisse des ponts entre le poétique et le politique. Chaque projet est une invitation à penser ensemble, à travers l’art, les tensions et les possibles du monde contemporain », explique Diana Wechsler, directrice artistique de la biennale initiée à Buenos Aires, en Argentine, en 2017.

En France, la programmation du millésime 2025 débute ce mois de septembre et s’articule autour de huit événements dans différentes villes, en partenariat avec des institutions culturelles.

À partir de ce mois, La Fabrique – Université Toulouse Jean Jaurès accueille l’exposition « Le silence des lucioles », autour du thème de la lumière comme signe de vie, de surveillance et de résistance, interrogeant les catastrophes écologiques, politiques et sociales à travers le prisme de la création. Ont été invités les artistes Peter Atwood, Renaud Auguste-Dormeuil, Mustapha Azeroual, Léa Belooussovitch, Nicolás Combarro, Julien Discrit, Nicolas Floc’h, Annika Keppner, John Melo et Mohammed Sami.

Le FRAC Corsica accueille le commissaire Alex Strecker et l’artiste Julieta Caputo dans le cadre du programme « Résidences croisées » avec BIENALSUR et ARTWORKS (Grèce). Chaque institution accueillera, pendant un mois, un professionnel des arts issu des autres territoires – Argentine, Grèce, France.

À partir d’octobre, au Centquatre-Paris, l’exposition « Lost Illusions, Illusions to Reclaim ? », présentée aussi dans le cadre de la Biennale internationale des arts numériques Némo de la Région Île-de-France, « convoque les grandes figures de l’utopie et de son imaginaire, réactivées par les technologies numériques, et plonge le visiteur dans un univers où néo-humains, machines vivantes, espèces inédites et écologie lumineuse dessinent des visions d’avenir entre science-fiction positive, agrofuturisme et biodiversité 2.0 ». Une seconde exposition autour du thème « New Found Illusions » propose une réflexion sur les promesses inachevées de la modernité, à travers les œuvres de Gabriela Golder, Ali Kazma et Kapwani Kiwanga.

Le 4 octobre, le Centre Pompidou, en collaboration avec le MK2 Bibliothèque, présente « Latin American Suite », un programme vidéo accompagné d’une rencontre avec plusieurs artistes latino-américains qui explorent de nouvelles manières de penser l’image et sa capacité à résister, témoigner et réinventer la mémoire : Sebastián Díaz Morales, Anna Bella Geiger, Voluspa Jarpa, Glenda León, Liliana Porter, Enrique Ramírez, Berna Reale et Liv Schulman.

À partir du 6 novembre, l’Instituto Cervantes de Bordeaux présente « Voix, Gestes, Traductions », une exposition de l’artiste argentine Leticia Obeid, dont le travail interroge les liens entre langage, mémoire et image.

À Paris, le 10 novembre, la Maison de l’Amérique latine accueille un cycle de vidéo-art intitulé « Approaches to the Landscape », réunissant les artistes latino-américains Pablo Mazzolo, Celeste Rojas Mugica, Maia Gattás Vargas et Malena Szlam.

Enfin, à l’Institut du monde arabe, l’installation « Let’s Play. The End of the Horizon » de l’artiste saoudienne Alaa Tarabzouni, réalisée à partir de matériaux de récupération, interrogera la mémoire des villes et la transformation permanente des paysages urbains.

Le calendrier complet de BIENALSUR 2025 est consultable ici.

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