Mohamed Bourouissa au Palais de Tokyo

Mohamed Bourouissa souhaite, par le biais de dessins, photographies, films, sculptures, aquarelles, plantes ou musiques expérimentales, échapper « à ce qui nous intoxique ».

2 mars 2024

Mohamed Bourouissa, Caleb on the Horse, 2018, techniques mixtes. Courtesy de Mennour, Paris, et de BLUM, Los Angeles, Tokyo et New York — Mohamed Bourouissa, *Caleb on the Horse*, 2018, techniques mixtes. Courtesy de Mennour, Paris, et de BLUM, Los Angeles, Tokyo et New York

Sous le commissariat d’Hugo Vitrani et grâce au soutien exceptionnel des Amis du Palais de Tokyo, le centre d’art organise, sous le titre « Signal », la première rétrospective institutionnelle française de Mohamed Bourouissa (né en 1978). Présentant ses premiers travaux comme les plus récents, l’artiste d’origine algérienne réfléchit à la notion d’amertume (seum en arabe), afin de faire émerger un récit collectif, souvent en prise avec les « fantômes du colonialisme », qui va de Blida, sa ville natale, à Gennevilliers, son lieu de résidence et d’activité, en passant par Fletcher Street, à Philadelphie, et Gaza en Palestine.

« Signal. Mohamed Bourouissa », 16 février - 30 juin 2024, Palais de Tokyo, 13, avenue du Président-Wilson, 75016 Paris.

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