La Villa Arson propose une exposition de l’artiste polonais Daniel Rycharski, composée de sculptures et d’installations en grand format qui confrontent l’héritage culturel de la Pologne paysanne et son identité gay. « Daniel Rycharski. La Goutte creuse la pierre », jusqu’au 12 janvier 2020, Villa Arson, 06100 Nice.

Vue de l’exposition « Daniel Rycharski. La Goutte creuse la pierre », 2019. Photo : François Fernandez. © Villa Arson
Le Grand Café à Saint-Nazaire accueille une série d’installations d’Éléonore False et Aurélie Pétrel, qui proposent une exploration critique de la relation de notre société avec le numérique et la surabondance des images. « Éléonore False et Aurélie Pétrel. L’Échappée belle », jusqu’au 12 janvier 2020, Le Grand Café, 44600 Saint-Nazaire.

Vue de l’exposition « Éléonore False et Aurélie Pétrel. L’Échappée belle », 2019. Photo : Marc Domage. © Adagp Paris, 2019
Le centre d’art contemporain la Synagogue de Delme propose une exposition de Tobias Spichtig qui présente dans l’ensemble du bâtiment ses peintures et sculptures de moyen format, jouant avec les codes visuels de la publicité pour mieux les subvertir. « Tobias Spichtig. Love and die », jusqu’au 2 février 2020, Centre d’art contemporain la Synagogue, 57590 Delme.

Vue de l’exposition « Tobias Spichtig. Love and die », 2019. © Tobias Spichtig
Le Centre d’art et de photographie de Lectoure présente une exposition en duo de Carlos Aires et Laetitia Tura, qui explorent l’exil comme fait historique et culturel. Utilisant la vidéo et la photographie, ils proposent une approche personnelle, mélangeant beauté et violence. « Carlos Aires et Laetitia Tura. Paysage de l’exil », jusqu’au 8 décembre, Centre d’art et de photographie, 32700 Lectoure.

Carlos Aires, Sweet Dreams (are made of this), capture vidéo, 2016. Courtesy Carlos Aires © Adagp, Paris, 2019
Le Parvis accueille une exposition de l’artiste conceptuel Marco Godinho. Celui-ci retrace dans ses installations, photographies et vidéos un récit imaginaire de voyage et explore une relation plus intime entre la nature et l’homme. « Marco Godinho. Kissing the sun, touching the moon, mixing the waters », jusqu’au 11 janvier 2020, Centre d’art contemporain Le Parvis, 44117 Saint-André-des-Eaux.

Marco Godinho, Sequence Of A Forgotten Moment, impression lenticulaire, 160 cm x 120 cm, 2013-2018. © Marco Godinho
Le Centre d’art contemporain de Meymac présente la 25e édition de « Première », projet qui réunit chaque année une dizaine d’artistes, jeunes diplômés des écoles d’art. « Première », jusqu’au 12 janvier 2020, Centre d’art contemporain Abbaye Saint André, 19250 Meymac.

Julien Salban-Créma, “La bibliothèque des NéoFac-Similés (BNF)”, 2019, Collection de documents pédagogiques sur l’histoire et la géographie des civilisations à travers des facs-similés, livre L'âge de l'ersatz de William Morris, matériaux divers, 200 x 120 x 130 cm. © École supérieure d’art Clermont Métropole