La Villa Arson, à Nice, propose de découvrir le récit personnel de Sailesh BR, dernier brahmane de sa famille, à travers une exposition comprenant des peintures, des photographies, des installations et des sculptures, invitant à un voyage dans la culture des castes de l’hindouisme. « Shailesh BR. The Last Brahmin », jusqu’au 3 mai, Villa Arson, 06100 Nice.
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Vue de l’exposition « Shailesh BR. The Last Brahmin », 2020. Photo : François Fernandez. © Villa Arson
Le CRAC Alsace présente à Altkirch une exposition réalisée en duo par Hagar Schmidhalter et Elena Narbutaitė, sous le commissariat d’Elfi Turpin, et qui s’offre au visiteur comme une expérience phénoménologique. « Elena Narbutaitė & Hagar Schmidhalter. Between Ears, New Colours », jusqu’au 10 mai, CRAC Alsace, 68130 Altkirch.
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Elena Narbutaitė, Billy, 2018, lampe à LED, 11 x 11 x 9 cm © Elena Narbutaitė et Galería PM8
Le Grand Café à Saint-Nazaire expose une installation d’Edith Dekyndt, conçue pour la Kunsthaus de Hambourg, en Allemagne. L’artiste belge y explore, dans un langage minimaliste, les relations entre les humains et le monde matériel. « Edith Dekyndt. The Black, The White, The Blue », jusqu’au 3 mai, Grand Café – centre d’art contemporain, 44600 Saint-Nazaire.
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Vue de l’exposition, « Edith Dekyndt. The Black, The White, The Blue », 2020. Saint-Nazaire, 2020. Photographie : Marc Domage. © Konrad Fischer Galerie, Düsseldorf-Berlin, Allemagne
Le 19 CRAC à Montbéliard accueille une exposition d’Aurélie Ferruel et Florentine Guédon, qui se déploie dans l’ensemble du centre, avec des sculptures et des installations éphémères, abordant les relations entre folklore et modernité. « Aurélie Ferruel et Florentine Guédon. La suée du Dindon », jusqu’au 19 avril, Le 19, Crac-centre régional d’art contemporain, 25200 Montbéliard.
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Aurélie Ferruel et Florentine Guédon, La fête du rrrhoh rrrhoh (détail), 2018, pierre calcaire d’Euville, bois d’acacia et tissu. © Aurélie Ferruel et Florentine Guédon
Le Palais de Tokyo, à Paris, ouvrira au public vendredi l’exposition « Notre monde brûle » réunissant une trentaine d’artistes, dont Francis Alÿs, Kader Attia et Shirin Neshat. Sous le commissariat d’Abdellah Karroum, directeur du Mathaf à Doha (Qatar), l’accrochage aborde les bouleversements qui ont marqué le Proche-Orient depuis 30 ans.« Notre monde brûle », du 21 février au 17 mai, Palais de Tokyo, 75116 Paris.
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Wael Shawky, Al Araba Al Madfuna III, 2016, capture vidéo. © Wael Shawky
À l’IAC à Villeurbanne, les artistes Fabien Giraud et Raphaël Siboni proposeront, à partir de vendredi, deux films de 24 heures chacun, dans lesquels ils élaborent une narration alternative à l’histoire du monde en mélangeant des éléments historiques et fictionnels. L’exposition est réalisée en collaboration avec le Okayama Art Summit 2019 et le Casino Luxembourg - Forum d’art contemporain. « Fabien Giraud & Rapahël Siboni. Infantia (1894-7231) », du 21 février au 3 mai, Institut d’art contemporain Villeurbanne/Rhône-Alpes, 11, rue Docteur Dolard, 69 100 Villeurbanne.
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Fabien Giraud & Raphaël Siboni, The Everted Capital (1971-4936), 2019, capture vidéo. © Fabien Giraud & Raphaël Siboni