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La sauvagerie baroque de la Nouvelle-Irlande à la galerie Flak

Six incontournables du Parcours des mondes. La principale manifestation au monde pour les arts premiers revient en force rive gauche à Paris.

Bérénice Geoffroy-Schneiter
9 septembre 2019
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En s’inspirant d’un célèbre poème d’André Breton célébrant la beauté féroce et ambiguë d’un Uli de Nouvelle-Irlande (Tu fais peur, tu émerveilles), la galerie Flak présente un exceptionnel aréopage de masques et de sculptures de cette île océanienne placée par les surréalistes au centre de leur carte idéale du monde. Peu de régions, en effet, ont autant bousculé les frontières entre l’étrange, le macabre et le beau ! Provenant des musées anthropologiques allemands et de prestigieuses collections privées (Pierre et Claude Vérité, Loed van Bussel…), ces œuvres baroques « où tout n’est qu’ingestion et digestion, équilibre et déséquilibre », selon l’expression de Julien Flak, ne cessent de fasciner par leur parfum « d’horreur raffinée ».

Proue de pirogue, archipel Bismarck, Nouvelle-Irlande, Papouasie-Nouvelle- Guinée, vers 1870, bois sculpté, pigments, coquillages. Courtesy galerie Flak. © Hughes Dubois

« Nouvelle-Irlande », galerie Flak, 8, rue des Beaux-Arts, 75006 Paris.

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