Les Éditions Norma publient un remarquable et attendu catalogue raisonné du travail du peintre français.

Le musée privé espagnol réunit dans un ancien palais une centaine d’œuvres, d’Anish Kapoor à Anselm Kiefer, dont de nombreuses pièces spécialement créées pour le site.

Le Leopold Museum expose les œuvres de la collection Würth.

La galeriste parisienne est morte le 27 décembre 2022, « entourée par sa famille, ses proches et les œuvres des artistes qu’elle aura accompagnés tout au long de sa vie ».

Le peintre du Nord, né à Tourcoing en 1910 et décédé à Wasquehal en 2000, bénéficie d’une importante exposition au musée d’art moderne de Paris, une institution de référence pour le travail de l’artiste.

Si les figures renversées sont emblématiques de l’œuvre de l’artiste allemand, on ne peut cependant la réduire à ce seul procédé. La remarquable rétrospective que lui consacre le Centre Pompidou, à Paris, montre la diversité de son art.

Pour la Fiac sont convoqués Georg Baselitz, Alex Katz, Imi Knoebel, Robert Longo – avec son impressionnante version de Guernica –, Antony Gormley et Ali Banisadr.

Peint par Baselitz en 1982, Das letzte Selbstbildnis I (« Le dernier autoportrait ») a pour atouts son format (250 x 200 cm) mais aussi sa place dans le corpus de l’artiste allemand.

Les « Digitorials » du Städel Museum de Francfort prolongent en version numérique les grandes expositions du musée depuis 2015.

Georg Baselitz a été élu hier, 23 octobre, à l’Académie des beaux-arts en tant que membre étranger, rejoignant ainsi entre autres Seiji Ozawa, Woody Allen, Léonard Gianaddda ou Philippe de Montebello.